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Mercredi 30 mai 3 30 /05 /Mai 16:11

Toujours aussi pervers, le prof de sport...

 

Si je comprends bien, cette histoire vous plaît, voici le 4ième épisode. 

 

A la suite de cette première expérience, je me suis couché en repensant à ce que je venais de vivre. Je savais que Lionel dormait en dessous et j'avais l'impression de le sentir encore en moi. J'avais encore l'impression de le sentir se raidir au moment où la jouissance lui fit fermer les yeux et où je pouvais sentir en moi chacun des jets de son sperme.
Je le sentais d'ailleurs en moi ce qui m'incommodait un peu car je craignais une éventuelle réaction pendant la nuit. La présence de ce sperme en moi était source de plaisir puisqu'il me rappelait l'expérience de l'après-midi mais m'inquiétait. Je repensais alors aux mises en garde sur les risques de maladie, sur le fait qu'à tout moment ce sperme pouvait ressortir et provoquer des taches embarrassantes sur les draps blancs. Bref, je n'étais pas à l'aise.
Je n'arrivais pas à me calmer et je décidai de prendre un peu l'air. Je sortis du dortoir en prenant soin de ne réveiller personne. Lionel dormait paisiblement ainsi que tous les autres. Je pris un pull, enfilai un short et mis mes chaussures. Après avoir descendu l'escalier central sur la pointe des pieds, je m'aperçus que deux pions fumaient leur cigarette sur les marches du porche en parlant à voix basse. Ils ne m’avaient pas vu et je rebroussai donc chemin pour passer par la porte du réfectoire de cantine.
Une fois dehors, je sentis l'air doux du mois de juillet et j'entendis le bruit lointain de la vie à l'extérieur du pensionnat. Je réalisais que tout le monde était en vacances et profitait pleinement de cet été pendant que je me retrouvais enfermé dans cette vieille bâtisse avec pour objectif de devenir un bon élève.
J'ai traversé la cour donnant sur le jardin pour rejoindre les bords du fleuve coulant en contre bas. Je me suis allongé en levant les yeux au ciel pour regarder les nuages orangés par les lumières de la ville défiler devant la lune. Il faisait bon et tout était calme ...
Mais alors que le sommeil commençait enfin à me gagner et que j'envisageais de remonter pour m'endormir enfin, j'entendis des petits rires étouffés dans les buissons puis des chuchotements.
J'étais arrivé discrètement et il était probable que ma présence ait pu passer inaperçue. Je décidai donc t'attendre un peu puis de me rapprocher doucement des buissons. Lorsque je fus suffisamment prêt, je pus distinguer la voix de Matthieu et celle de deux autres mecs du cours de math. Aux odeurs s'échappant des buissons, il me paraissait évident qu'ils partageaient un joint.
Au moment où j'allais partir, j'ai compris que leur conversation portait sur un plan destiné à permettre à Matthieu d'obtenir une revanche sur Lionel et moi accessoirement. Matthieu affirmait nous avoir suivis jusqu'au grenier où Lionel et moi avions fait l'amour. Il disait avoir après nos ébats, récupéré la revue porno que nous avions cachée. Il entendait maintenant la placer dans le sac de Lionel samedi matin lorsque ses parents viendraient pour le chercher pour la durée du week-end. En effet, un week-end sur deux nous pouvions rentrer chez nos parents et ceux de Lionel venaient systématiquement le prendre.
Le plan de Matthieu me semblait minable mais néanmoins risqué pour Lionel dont le père semblait ne pas être spécialement disposé à trouver ce genre de revue dans le sac de son fils. Son père était en effet une épaisse brute avinée à laquelle il ne valait mieux pas se frotter. Discrètement je rejoignais le dortoir et décidai de parler le lendemain matin à Lionel avant l'arrivée de ses parents.
Le lendemain matin, lorsque je me réveillai, Lionel était déjà débout, prêt à partir. Je m'étais endormis tard et n'avais pas entendu les autres se lever. Lionel m'a souri puis est sorti du dortoir. Quelques secondes plus tard, mes esprits repris, je réalisais que Lionel partait sans que je l’aie averti.
J'ai alors bondi de mon lit, enfilé un jean et un t-shirt et ai couru aussi vite que possible pour retrouver Lionel.
Mais lorsque je suis arrivé dans le hall d'entrée, Lionel était en train d'embrasser ses parents et son père avait déjà son sac à la main. J'étais alors complètement paniqué. Je réalisais que le plan à priori débile de Matthieu était sur le point de fonctionner et d'ailleurs, ce petit con, à l'autre bout du hall ricanait avec ses deux compères.
Lionel me tournait le dos et au moment où il s'apprêtait à partir, je pus l'attraper par le bras. Il s'arrêta et ses parents se retournèrent également. J'allais demander à Lionel un instant pour lui exposer la situation mais son père nous lança : " on est déjà suffisamment en retard comme ça, tu retrouveras ton pote lundi " !
Lionel prit une expression navrée puis partit. Je pus simplement lui lancer : "je crois que le livre que je t'ai prêté et que j'ai acheté hier est dans ton sac ... n'oublie pas d'en prendre soin et de me le rapporter " !
Aussitôt après le départ de Lionel, je m'étais retourné et avais regardé Matthieu qui avait suivi toute la scène.
Matthieu était bien plus fort que moi et je n'avais pas la possibilité, comme Lionel, de mettre en pratique 10 ans de judo pour chasser de son visage le sourire narquois qu'il affichait.
Je suis donc remonté dans le dortoir, me suis couché sur mon lit et j'ai commencé à lire l'un des livres dont on nous avait demandé de faire la lecture pour nos cours de français. Mais j'ai réalisé que mon esprit n'arrivait pas à se concentrer sur ma lecture. Mes yeux suivaient les lignes et mes doigts tournaient les pages mais mon esprit était ailleurs. Je pensais à cette semaine, à Lionel, à cette première fois et aux sentiments qui m'animaient. J'étais amoureux et savoir Lionel parti me rendait triste. J'imaginais son corps, sa bouche. Je pouvais sentir son odeur encore enfermée dans les draps de son lit situé sous le mien. Il me manquait et je rêvais tout éveillé de son sourire, de ses bras, des parfums de son sexe.
Perdu dans ces pensées, je n'avais pas remarqué qu'Antoine me surveillait depuis le pas de la porte. J'avais glissé ma main dans mon caleçon et avais dégrafé les boutons de mon jean. Les jambes légèrement repliées, je me caressais doucement en pensant être seul. L'excitation montait en moi progressivement et je laissais courir dans mon imagination de vieux fantasmes tout en m'efforçant de ne pas penser à Lionel que je respectais trop.
Soudain, Antoine s'approcha et, en l'apercevant, d'un mouvement brusque, je sortis ma main de mon caleçon, posa mon livre sur mon jean et lui lançai : " Si tu comptes me refaire le coup du vestiaire, cette fois-ci je ne me laisserai pas faire " ! Mais Antoine avait déjà posé sa main sur mon jean et fouillait de ses doigts mon caleçon.
J'ai alors remarqué que la porte du dortoir était fermée et Antoine, après avoir attrapé mon sexe encore gonflé du plaisir solitaire que je m'accordais, se mit à me sucer doucement. J'étais terrifié mais n'osais pas bouger. Curieusement, et malgré mes efforts pour débander et décourager Antoine, ses coups de langues, la caresse de ses lèvres le long de ma bite finissaient par me procurer du plaisir et je bandais de plus belle.
Au bout de quelques instants, Antoine me pompait énergiquement en me malaxant mes couilles. Je sentis un doigt me caresser l'anus puis rentrer doucement en contact avec ma prostate. Mon corps se raidit et je gémissais de plaisir ce qui encourageais plus encore Antoine qui cette fois me suçait en alternant les rythmes lents et rapides en accompagnant ses lèvres avec sa main.
Antoine avait glissé plusieurs doigts en moi sans que je puisse en connaitre le nombre précisément. Les mouvements de ses doigts, le contact de ses lèvres sur ma bite m'amenèrent ainsi jusqu'à l'orgasme et je me mis à éjaculer dans la bouche d'Antoine qui avala chacune de mes giclées sans laisser tomber la moindre goutte.
Antoine s'essuya les doigts avec les draps de Lionel laissant une trace suspecte sur un coin des draps blancs puis partit en me lançant : " un partout, la prochaine fois je t'enculerai sauvagement !"

 

Et ce n'est pas fini, il y a encore une suite pour la semaine prochaine si vous voulez.

A + et lâchez le cum et les coms...

Par Pip&Sacanoix - Publié dans : Histoires
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