Présentation

  • : Sacanoix & Pip Moustache - Le Sex Gay Blog des copains
  • Sacanoix & Pip Moustache - Le Sex Gay Blog des copains
  • : Gay Rencontre Gay
  • : Le plaisir du sexe entre mâles et de la masturbation masculine . . . Histoires, photos, vidéos, dials et rencards, chaque jour un copain exbibe sa bite... Si le sexe entre hommes te dérange, passe ton chemin.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Catégories

Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 16:08

Leçon de sodomie,

de la théorie à la pratique.

 

Puisque vous aimez et que vous réclamez la suite, voici le 3ième épisode, de quoi nous mettre un peu l'eau à la bouche avant les vacances d'été. Mais, que cela n'empêche pas d'étudier d'ici là :)

 

Lionel est moi sommes rentrés discrètement à l'internat. Les autres jouaient au foot dans la cour que nous avons traversée. Matthieu s'est alors mis à lancer : "alors les PD, on s'est bien amusé ?". Lionel, malgré son gabarit léger, a foncé sur Matthieu en le bousculant si fermement que Matthieu en tomba par terre. Les autres arrêtèrent le ballon et commencèrent à exciter Matthieu par des encouragements. Celui-ci s'est relevé et a voulu frapper Lionel qui esquiva le coup de poing et infligea à Matthieu une correction en règle.
Après cette démonstration, Lionel lança un défit aux autres garçons afin de s'assurer que plus aucun d'entre eux ne souhaitait continuer le débat. Dans le silence général à peine troublé par les plaintes de Matthieu, Lionel et moi sommes remontés au dortoir pour nous coucher. Plusieurs garçons lisaient tranquillement.
Pendant que je montais dans mon lit, Lionel m'expliqua qu'il avait fait 10 années de judo et qu'il n'avait jamais eu l'occasion de les mettre réellement en pratique avant ce soir. J'étais impressionné par son calme alors qu'il venait de se battre avec le plus redouté des mecs du pensionnat. Une demi-heure plus tard, Antoine procédait à la dernière visite du dortoir avant l'extinction des lumières. En passant devant nos lits, il esquissa un sourire provocateur.
Le lendemain, la nouvelle des exploits de Lionel avait fait le tour des dortoirs. Mais la rumeur sur notre liaison que la réaction de Lionel n'avait fait que confirmer s'était également répandue. La matinée de cours de math s'est déroulée normalement mais ma concentration pourtant indispensable en raison du fait que mon passage en première était suspendu à la réussite d'un examen à la fin de l'été, était mise à mal par les regards tendres lancés par Lionel.
A la pause du déjeuner, Lionel me demanda de l'accompagner dehors pour passer chez le libraire. Arrivés devant l'étalage de magazines, je me suis dirigé vers le rayon des revues pornos pour regarder les couvertures des revues gay. Lionel qui venait de trouver le livre qu'il était venu chercher me rejoint et a pris conscience de l'objet de mon attention.
En faisant mine de feuilleter une revue automobile, Lionel a attrapé la revue porno, l'a glissée dans son sweet et nous sommes partis quelques secondes après en saluant le vendeur affairé au rangement de piles de journaux. Sur le chemin du retour, je contenais difficilement mon impatience de parcourir l'objet de notre délit.
Mais les cours de sport commençaient et il nous fallait attendre encore plusieurs heures. A la fin du cours, Lionel et moi avons réinvesti nos cabines de vestiaires isolées au fond. J'escaladai de nouveau la séparation pour rejoindre Lionel qui avait sorti la revue. Nous nous sommes assis sur le banc et, nus comme des vers, avons commencé à mater les images d'hommes dans des positions dont nous ne soupçonnions pas qu'elles puissent être pratiquées.
En particulier, Lionel s'arrêta sur une photo d'un homme enculant son partenaire, couché sur lui avec les jambes de l'autre posées sur ses épaules. Les gros plans de cette position étaient particulièrement excitants mais, si l'envie nous prit de vouloir essayer rapidement cette position, la cabine et la présence d'Antoine dans les parages ne s'y prêtaient guère. J'ai donc réintégré ma cabine, nous nous sommes rhabillés très vite, avons traversé le vestiaire non sans lancer un regard méprisant à Antoine qui semblait nous surveiller, puis sommes repartis vers le dortoir.
Arrivés au dortoir qui était vide, j'ai indiqué à Lionel que le grenier du vieux bâtiment était accessible par un escalier dont je connaissais l'emplacement. Nous nous sommes donc rendus dans le grenier en prenant soin de bloquer la porte avec le loquet curieusement situé du coté intérieur. Nous avons trouvé dans le grenier de vieux tapis de gym que nous avons étendus au sol.
Lionel m'a déshabillé entièrement et, après avoir embrassé chaque partie de mon torse, a sucé ma bite langoureusement puis m'a allongé sur les tapis froids.
J'ai défait le pantalon de Lionel pendant qu'il retirait le haut et il s'est allongé à coté de moi. Nous avons alors adopté une posture en 69, Lionel se plaçant sur moi.
Je pouvais tout en avalant sa bite caresser de mes doigts sur cul plus ouvert que la veille. J'ai ainsi pu introduire sans effort un puis deux doigts pendant que Lionel me léchait et avalait mes couilles. Soudain, je fis basculé Lionel sur le coté puis m'allongeai sur lui. Lionel a écarté les jambes que j'ai posées sur mes épaules. Son cul et ses fesses bombés s'étaient dès lors redressés et étaient placés dans l'axe de ma bite dont le gland forçait déjà l'entrée.
J'ai pénétré Lionel qui a poussé un petit gémissement et lentement, j'ai enfoncé ma bite au fond de lui ce qui semblait lui procurer un intense plaisir. Lionel ne se contrôlait plus, il gémissait et soupirait de plus en plus fort, son sexe mouillait son corps et le mien et régulièrement je le branlais.
Lionel m'a dit alors :" il faut que tu essayes, c'est trop bon ". Je n'étais pas convaincu d'aimer la sodomie mais la tendresse de Lionel me poussa à accepter. Je me suis alors allongé sur le dos et Lionel a pris mes jambes sur ses épaules.
Il me cracha sur le trou pour l'humidifier et introduit un doigt en moi. Puis, il posa sa bite devant mon trou en forçant l'entrée encore un peu fermée. J'eue un peu mal au moment où Lionel poussa mais une fois entrée en moi, sa bite amorça des vas et viens qui très vite me détendirent et me procurèrent un plaisir insoupçonné.
Je jouissais du cul ce que je n'avais encore jamais cru possible. Je me surprenais à aimer le contact des couilles de Lionel tapant mes fesses, le bruit de cette pénétration, son visage suspendu au dessus du mien, ses lèvres qui m'embrassaient, mon sexe qui frottait contre son ventre, les odeurs de poussière du grenier mélangées avec nos propres odeurs.
Le plaisir que me donnait Lionel devint intense au point que par les seuls frottements de son ventre sur ma bite, j'éjaculai abondamment, certaines gouttes atteignant même mon menton. Quelques instants après, alors que je n'avais pas encore repris mes esprits, je sentis la bite de Lionel se raidir plus encore en moi puis plusieurs jets puissants sur ma prostate. Lionel venait de jouir en moi.
Nous sommes restés ainsi encore quelques instants pour calmer nos respirations, en nous embrassant. Puis après plusieurs minutes et une cigarette, nous sommes redescendus pour diner.

 

Et ce n'est pas fini, il y a encore une suite pour la semaine prochaine si vous voulez.

A + et lâchez le cum et les coms...

Par Pip&Sacanoix - Publié dans : Histoires
Ecrire un commentaire - Voir les 10 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés