Père & fils ?

Ne pas confondre fantasmes et réalité,

ne pas juger sans savoir. 

Tout d'abord, amis du blog, nous vous demandons de nous excuser de vous avoir un peu délaissés pendant le week-end. Nous avons donc décidé de faire une petite pose pour nous retrouver ensembles tous les deux. Nous avons mis les syllabus et le Net entre parenthèse et nous en avions bien besoin. Demain, nous reprendrons nos activités habituelles et avant cela, nous venons tous les deux vous saluer.

Avant de vous donner la suite de l'histoire que plusieurs ont demandée, nous allons faire une mise au point pour notre ami Ramuh. Nous ne tenons plus à réagir aux commentaires insultants comme nous l'avons fait autrefois. Nous préférons les supprimer et les ignorer. Ceux qui estiment que nous sommes pervers ne sont pas obligés de venir sur le blog. Nous ne pouvons accorder aucun crédit à ceux qui annoncent dès le départ qu'ils n'ont pas lu l'article mais qu'ils le condamnent sur base de son titre. Nous ne refusons pas les commentaires critiques, ceux des copains qui disent ne pas aimer ou qui argumentent pour nous faire comprendre que nous n'aurions pas dû publier un articles. Par contre, rien ne nous obligent à conserver les commentaires désobligeants et insultants.

Qu'un article choque, qu'il blesse certains amis et que ceux-ci nous le disent, nous pouvons l'accepter. Le commentaires qu nous supprimons ne sont pas ceux qui ne correspondent pas à notre avis mais ceux qui ne respectent pas les formes de l'élémentaire correction.

Voici maintenant la suite de l'histoire de mercredi.

Il s'est levé et c'est à contrecœur que j’ai dû lâcher son pieu. Je l’ai observé pendant qu'il sortait du bain et me suis régalé du spectacle de ses couilles et de sa tige dure qui se balançaient. Je me suis levé et suis sorti du bassin. Il m'a tendu une serviette. Pendant que l’on s’essuyait, je pensais en moi-même que je devais rêver. Je l'ai suivi dans ma chambre, observant son dos velu. Il me dit :
- Couche-toi sur le lit.
Je m'étendis sur le lit puis il écarta mes jambes, arrangeant son bout velu sur mes cuisses, puis saisissant son sexe d’une main et le mien de l'autre, il commença à les branler lentement. Après une minute ou deux, il s'est déplacé pour joindre nos bites et, les serrant ensemble d’une seule main les frotter l’une contre l’autre.
J'étais fasciné par le spectacle. Nous produisions tous les deux un abondant liquide lubrifiant ce qui rendait nos bites particulièrement lisses. La sensation et le spectacle, c’étaient presque trop pour moi. Cela faisait plus de deux jours que je n’avais plus éjaculé. Je devais me forcer pour ne pas lâcher trop vite mon foutre. Laissant mon père jouer avec nos sexes, j’ai caressé sa poitrine velue frottant mes doigts autour de ses mamelons, ce qui le fit gémir.
- Oui, c’est bon, continue ce jeu avec mes tétons, me dit-il. Ah, ouais, j'aime cela.
Il a commencé à se trémousser sur mes cuisses en respirant de plus en plus rapidement.
-Oh, oui, c’est si bon, a-t-il gémi.
Sa main s’est déplacée plus rapidement et nos bites ont fait un bruit d'écrasement pendant qu'ils les frottaient ensemble. Je pouvais voir ses cuisses monter de plus en plus haut alors qu’il approchait du tir final. Il se basculait plus rapidement et sa main volait à travers nos bites qui produisaient de plus en plus de lubrifiant. Son gland grossissait de plus en plus et virait au rouge foncé. J’ai remarqué alors qu’il était prêt à éclater.
Avec un gémissement il a doublé la pression et un long jet de foutre a giclé de la fente pour aboutir sur mon ventre. Il a été suivi d’un autre et encore d’un autre, de chaudes et blanches giclées qui aboutirent sur mon ventre, ma poitrine, mon visage et même mes cheveux. Au comble de l’excitation, je jetais en arrière ma tête et dans un léger gémissement mon sexe libéra de gros jets de sperme épais qui vint se mélanger à celui de mon père sur mon corps.
Mon père continua à caresser nos sexes faisant sortir les dernières gouttes de laiteuse semence qu’il mélangea dans les poils de mon pubis. Puis sa main a ralenti ses mouvements, il a caressé mes couilles et m'a regardé en souriant :
- Fichtre, c'était bon ! Nous avons bien juté et en grande quantité, n’est-ce pas ?"
Il a pris sa main couverte de jus et, la portant à sa bouche, l’a léchée. Puis, reprenant du sperme sur mon ventre m’a présenté sa main que j’ai léchée aussi. Je me suis penché sur son sexe encore en demi-érection et je l’ai sucé pour en récupérer la délicieuse semence. C’est alors qu’il me dit :
- Mon fils, je ne vais pas dire que je n'ai pas apprécié, mais je n’aurais jamais dû commencer ce jeu. Je veux juste que tu saches que ça ne se produira plus, mais cela ne signifie pas que je t'aime moins.
Il a souri d’un air triste pendant qu'il se penchait au-dessus de moi et m'embrassait sur le front. Avec un soupir, il s’est levé et m'a donné une tape sur la jambe.
- Maintenant, lève-toi et viens prendre une douche.
En se dirigeant vers la salle de bain il a ajouté :
- Ce soir, nous sortons. Je t’invite pour un bon dîner. Je ne sais pas toi, mais moi, j'ai faim... je me demande bien pourquoi.

A + et lâchez le cum et les coms...