Chez les scouts, on organise parfois

des jeux bien gays. 

Avez-vous déjà vu la belle bite de Mat que j'ai mis sur le blog en début de soirée ?Maintenant, me revoici, juste avant d'aller dormir pour vous mettre une bonne histoire bien chaude qui nous a été envoyée par Mesper, un ami de longue date. Il nous précise : "Le début de l'histoire, c'est du réel, mais la suite, c'est un fantasme que j'ai imaginé à partir de ce que j'avais vu. Je em suis toujours branlé en pensant à Dorian et encore maintenant, je me branle quand j'y pense, et je viens encore de me branler en l'écrivant pour le blog".

Comme quoi, il suffit de peu de chose pour faire naître un fantasme et les fantasmes que nous construisons à l'adolescence nous pousuivent longtemps...

L’histoire que je vais raconter se passe au début où je venais de rentrer chez les scouts, un samedi après-midi qu’on était sortis sur le terrain au bois des roches.  Nous étions tous assis par terre en cercle pendant qu’on expliquait ce qu’on allait faire. J’ai eu très vite mon regard attiré par Dorian, un garçon de bien trois ans plus âgé que moi. Un beau grand mince, noir de cheveux, un peu poilu que j’avais déjà observé plusieurs fois et qui m’attirait beaucoup.  J’avais déjà remarqué qu’il portait des jeans collants qui mettaient bien en évidence les belles courbes de ses fesses et surtout la grosse bosse de son sexe devant. C’est un garçon qui m’attirait beaucoup et surtout cette grosse bosse devant qui me faisaient imaginer un énorme sexe que j’aurais voulu voir nu. Je ne cache pas que je fantasmais souvent sur lui pour me branler. J’aurais bien voulu qu’il me remarque et qu’on devienne ami. Mais bon, on ne se connaissait pas plus que ça et comme il était plus âgé que moi, ça n’était pas évident. J’essayais donc d’attirer son attention de plusieurs façons mais ça ne semblait pas trop bien marcher.
Mais voilà, ce jour-là, il était là devant moi et en plus dans une tenue on ne peut pas plus excitante. Il avait le jeans déchiré à l’entrejambe et comme il était mis, je voyais son gros paquet caché par son slip blanc qui sortait par le trou de son pantalon. Vous imaginez bien dans quel état je me suis retrouvé en voyant ça. Je ne pouvais plus détacher mes yeux de ce gros paquet blanc. J’essayais de deviner ce qui se cachait derrière le tissu du slip. J’étais aux aguets de tous les mouvements qui auraient pu se passer dans le paquet et je rêvais de voir son sexe sortir du slip. Bien sûr, je n’écoutais pas trop les explications. Je sentais mon sexe se gonfler dans mon short ce qui fait que de temps en temps, je me touchais en le regardant. Je voyais bien qu’il me regardait aussi de temps en temps mais sans s’attarder, nos regards se croisaient parfois puis se quittaient tout de suite. Finalement, en me touchant, j’ai fini par avoir l’audace de remonter un peu la jambe de mon short en essayant de faire apparaître mon slip avec le petit paquet du sexe à son regard.
Le jeu allait commencer : Il fallait s’emparer d’un bâton magique sans se faire attraper par les gardiens du temple. Il fallait qu’on s’éparpille dans le bois à la recherche du temple puis, une fois qu’on l’avait trouvé essayer d’y pénétrer sans se faire prendre par un gardien.
On se lève donc pour commencer le jeu et Dorian vient s’adresser à moi en disant : « tu sais, je crois qu’on aura plus de chance si on y va a 2, comme ça si on tombe sur un gardien, il y en a un qui peut rentrer dans le temple pendant que l’autre s’occupe du gardien ». Je lui réponds « ok mais il faut encore trouver où il est » et il me dit : « oui, mais j’ai bien une petite idée, viens ça doit être par là, c’est une grotte que je connais ici un peu plus haut ». « Ok que je lui dis, je te fais confiance ». Vous n’imaginez pas mais je n’en revenais pas que c’est à moi qu’il s’était adressé. Il faut dire que les autres avec lesquels il était toujours faisait cette fois-là partie des gardiens et donc je me disais aussi que j’avais de la chance, qu’il était au courant d’où étaient ses copains et qu’il pourrait sans doute s’arranger avec eux pour entrer plus facilement, mais je n’en revenais pas qu’il avait penser à me prendre avec lui.
Mais en chemin, il commence à me parler :
- tu sais, moi, ce genre de jeu, ça me les broute un peu, qu’il me dit.
- ça te les broute un peu ?
- ben oui, tu vois bien ce que je veux dire, je trouve ça con de chez con et ça me pelle les couilles. Tu vois ce que je veux dire… Ce n’est pas que je n’aime pas qu’on me broute les couilles mais enfin, il y a plus marrant comme jeu
- ah oui, quoi par exemple ?
- tu veux que je te fasse un dessin ? Tu crois que je n’ai pas remarqué tout à l’heure ?
Là je me sentais pris au piège et je me suis mis à rougir.
- bon t’inquiète pas, t’es pas mal non plus dans ton genre, qu’il me dit.
La je commence à flipper parce que j’avais beau fantasmer sur lui, maintenant que je me sentais au pied du mur, je me demandais bien où on allait…
Nous voilà arrivé à la fameuse grotte.
- Tiens, c’est bizarre, qu’il me dit, il n’y a pas de gardien, ça n’a pas l’air d’être ici. Tant pis maintenant qu’on y est. Tu ne la connaissais pas cette grotte ?
- Non
- Ah ah, et bien tu devrais. C’est un bon repère, crois moi. Viens je te fais visiter.
En fait, c’est une toute petite salle dans un renfoncement dans la roche, dissimulé par les arbres.
- Tu vois, qu’il me dit, c’est une bonne cachette, d’ici tu peux tout voir de ce qui se passe en bas et c’est difficile pour les autres de te voir.
C’est vrai que de là où on est perché, on a une belle vue sur le bois, sur la clairière et le sentier qui descend vers la vallée, et même sur une bonne partie de la vallée, le chemin de fer, le fleuve et les usines, on voit tout et dès le moment où on est dans la grotte derrière les arbustes, on est bien cachés à l’abris des regards.
- Bon et bien puisque ce n’est pas ici, on va faire une petite pause, qu’il me dit et il sort une cigarette de sa poche. T’en veux une ?
- Non, je ne fume pas
- Tu ne fumes pas ? Tu préfères la pipe peut-être …
La dessus, il s’assied sur une pierre pour fumer sa cigarette et il me montre une autre pierre en face en me disant :
- Tiens t’en as une autre là. Tu sais ce que c’est au moins une pipe ?
- Ben oui, je ne suis pas un con…
- Oui mais enfin une pipe quoi pas celle qu’on fume, tu vois, qu’il me dit en se caressant la bosse qui sort par le trou de son jeans puis en se prenant le sexe en main à travers le slip.
Et il continue en se levant face à moi, le sexe toujours dans sa main au niveau de mon visage :
- J’ai bien vu comment tu la regardais, je suis sûr que t’as envie de la prendre
Là je rougis encore plus, je ne sais que balbutier.
- Tiens, vas y prends la, tu peux la déballer et la sucer, ne te gène pas puisque tu en crève d’envie.
Je ne sais plus où me mettre.
- Quoi, je me trompe, t’en as pas envie ?
- heuuuu, si, je lui réponds de plus en plus rouge
- Ah, il me semblait bien. Je ne me trompe jamais là-dessus, je vois tout de suite quoi comment les types me regardent
Et là-dessus, il se déboutonne le jeans et sort tout le paquet, bite et couilles de taille bien impressionnante. Puis, en me prenant la tête entre ses mains, il me met le sexe sur le visage en me disant : « vas-y,  prends la en bouche, suce-moi ».
La dessus, j’ouvre la bouche, je m’approche de plus près et l’attrape avec les lèvres sans problème car elle est bien raide, mais tellement grosse. En me prenant par la tête et par un mouvement de bassin, il me l’enfonce dans la gorge. Mais, elle est tellement grosse et longue que je m’étouffe avec et que je me mets à tousser. Il se retire, puis se renfonce mais moins loin et commence un va et vient dans ma bouche. Je goûte comme un petit goût sucré amer sur ma langue et je trouve ça bon. Je commence à faire des mouvements de succion avec mes lèvres et ma langue, comme je le ferais avec une bonne sucette acidulée. Maintenant, il se laisse sucer, lâche ma tête et me prend le bras pour diriger ma main vers ses couilles en me disant : « vas y caresse moi le paquet, hummm oui comme ça ». Puis il prend l’autre main et me fait caresser ses fesses.
- « Hummm, c’est bon, tu veux que je te fasse pareille ? » qu’il me dit.
-  oui que je lui réponds.
La dessus, il se recule, me fait me lever et me demande de me déshabiller complètement et il fait de même. En enlevant mon slip, je vois qu’il est tout mouillé et que ma bite bandée est couverte du liquide visqueux de l’excitation. Alors, en me caressant les fesses et en glissant ses mains dans ma raie, il se met à me lécher le sexe : les couilles, la tige le gland ; il me décalotte et me passe la langue tout autour du gland. C’est tellement bon que ça me fait frissonner.
- Tiens couche toi là par terre, qu’il me dit
Puis il se couche à côté de moi dans l’autre sens, m’attrape par les cuisses, passer la tête entre mes jambes et me prend la bite avec sa bouche en me caressant les cuisses puis les fesses puis la raie et enfin mon anus. Je lui fais pareille. Il se met alors à me sucer avec vigueur et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, j’éjacule dans sa bouche sans pouvoir me retenir. La dessus, il me serre tout contre lui dans ses bras, comme s’il ne voulait pas me laisser partir et me suce encore plus fort. Jusqu’à ce qu’il ne me reste plus une seule goutte. A ce moment là, je me laisse tomber épuisé sur le sol, il se retourne me prend fortement dans ses bras, m’embrasse sur la bouche, se presse avec son sexe contre le mien et de quelques coups de reins énergiques, se fait jouir sur mon pubis.
Nous restons encore un moment dans les bras l’un de l’autre. Il me caresse et m’embrasse partout puis me lèche le sexe et le ventre pour me nettoyer de son sperme. Il termine le nettoyage avec un mouchoir. Nous nous rhabillons et nous partons. Il me dit en partant :
- Je m’étais trompé, le temple, ce n’était pas ici. Mais je ne regrette pas. Promets-moi qu’on y reviendra la prochaine fois. 

Pour terminer, la vidéo du jour :

Mate et astique-toi

A + et lâchez le cum et les coms...