Le retour

de l'étudiant des Gobelins

Jacques nous revient avec ce nouvel épisode de ses aventures de jeunesse.

Ce soir là n’ayant pas trop envie de bucher mes cours, je fermais mes bouquins et sortis draguer comme d’habitude du coté de la tasse de la place d’Italie. Oh, déception, le coin était quasiment désert, bien que le temps était idéal pour la drague. A part quelque personnes d’un âge certain, rien !
Je décidais donc de rentrer et en descendant l’avenue des Gobelins, au niveau de la Manufacture je croisais un jeune blond de mon âge environ, et dont le regard croisa le mien avec une certaine insistance. Après quelques pas je me retournais, et il en fit autant, tout en continuant son chemin malgré tout. Je fis alors demi-tour en décidant de le suivre. Sait-on jamais ? Il alla jusqu’au cinéma qui se trouvait un peu plus haut, regarda les photos du film, tout en me lorgnant, entra et prit un billet de balcon tout en m’invitant à le suivre d’un signe de tête. Après un bref moment d’hésitation je pris aussi mon billet et grimpais au balcon où je fus accueilli par une ouvreuse qui m’installa dans le noir, la séance étant commencée, sur le bord de la rangée centrale. Une fois installé je cherchais à repérer mon blondinet et vis qu’il était trois rangs plus haut dans la rangée sur ma gauche. L’entracte arriva et en le regardant je vis qu’il se déplaçait sur le siège voisin de lui, inoccupé et qu’ainsi ostensiblement il m’invitait à venir m’installer à son coté ce que je fis aussitôt. Mais là, aussi coincé l’un que l’autre, nous ne nous dimes rien quoique nous nous lorgnons mutuellement du coin de l’œil.
Enfin le noir revint et le film commença (de ce film d’ailleurs je n’ai aucun souvenir).
Je m’enhardissais à pousser ma cuisse vers la sienne, à la toucher et ce que j’escomptais, il n’y eut aucun mouvement de recul de son coté. Ma main gauche se porta sur cette cuisse et commença à la caresser, tout en remontant vers l’entre-jambe qui comme par hasard s’entrouvrit. Je sentis alors sous mes doigts deux boules bien fermes surmontées par une hampe de bonne dimension toute dressée et très dure. Mais là, il bloqua ma main, se pencha vers moi et me susurra à l’oreille : « attends la fin du film, chez moi ».
Je redevins donc sérieux et me mis à patienter. Le film me paru interminable et une fois fini, nous nous retrouvâmes dehors. Il me dit alors : « Moi c’est Ernst et toi ? »
Je lui donnais mon nom et lui demandais où nous allions. Il me dit qu’il habitait seul au-dessus de chez sa grand-mère, dans un petit appartement et que nous pouvions si je voulais y aller. Tu parles je n’attendais que ça. Nous y fumes rapidement car c’était vraiment à deux pas et une fois entrés nous pûmes enfin nous serrer dans les bras l’un de l’autre et commencer à nous caresser. Je pus constater que la belle forme qu’il avait au cinéma était de retour et très prometteuse. De mon coté, il put se rendre compte qu’il en était de même et nous nous retrouvâmes nus dans sa chambre en moins de temps qu’il faut pour le dire, allongés sur le lit dans un 69 parfait. Nous commençâmes l’un comme l’autre à nous lécher, à nous sucer les boules et à nous faire une pipe magistrale.
Nous poussions des soupirs et des râles de plaisir. Aussi rapidement, je me mis une forte dose de salive dans le creux de la main et commençais à faire tourner ma main ainsi enduite tout autour de son gland et sur toute sa surface. Il se tortilla de plaisir et rapidement ne put plus le supporter. Il se leva et me conduisit à un fauteuil crapaud dont les deux bras supportaient une large planche enroulée dans une couverture. Il s’assit dessus, bascula en arrière et leva les jambes tout en les écartant. J’eus alors une vue imprenable sur son anus qui palpitait et attendait que je m’occupe de lui. Je commençais donc à lui faire un pétale de rose mais assez vite mon envie étant trop forte, je me redressais et eus juste à avancer mon sexe qui se trouvait ainsi à la bonne hauteur, pour pénétrer sans aucune difficulté dans l’antre du plaisir. Ernst poussa un énorme soupir de satisfaction et sous mes mouvements d’aller et retour, il se mit aussi à se tortiller afin d’augmenter son plaisir. J’eus alors en quelque sorte le sadisme de sortir entièrement pour rentrer à nouveau à fond, sans me guider de la main, et ce à plusieurs reprises, jusqu’à n’en pouvant plus il jouit et de l’arrière et de l’avant sans se toucher, en s’arrosant jusque sous le menton en de longs jets blancs qui semblaient ne plus vouloir s’arrêter. Face à cela je ne pus me retenir et à mon tour je lui inondais l’intérieur n’ayant absolument pas envie de me retirer. Une fois calmé je me désolidarisais de lui tout doucement. Il put baisser ses jambes et se redresser pour me rouler une pelle du tonnerre. Puis tout chancelant, il m’invita à passer dans la salle de bain pour me nettoyer. A la suite de quoi je me rhabillais, l’heure étant on ne peut plus tardive et travaillant le lendemain, nous nous séparâmes pour un repos bien mérité.
Ma soirée bien mal commencée s’était malgré tout fort bien finie. Le pire est que quoique voisins, nous ne nous sommes jamais revus.

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Matez la bite d'Eric qui je viens de mettre en ligne