La Saint-Silvestre

De l'étudiant des Gobelins

Nous remercions chaleureusement Jacques qui nous a envoyé cette histoire.

Cette année là , après un réveillon traditionnel de Noël en famille, je décidais de rester à Paris pour le nouvel an, ne voulant pas me retrouver à nouveau avec toute la famille autour d’une table de 20h  à l’aube avec repas digne de Rabelais, soupe à l’oignon au petit matin, quelques heures de sommeil et re –repas jusqu’à 18h  environ pour faire la vaisselle, se dégourdir les jambes, et remettre ça vers 20h  jusqu’à pas d’heure…..
Donc je prétextais pour échapper à cela les stages hospitaliers obligatoires qui me retenaient à Paris. Je ne voulais, ni aller en boites qui à mon gout  ont toujours été trop bruyantes et avec trop de « folles »  Je pensais me faire un petit repas tranquille suivi par une drague dans la rue à la recherche d’une âme sœur esseulée elle aussi.
Au moment de sortir de mon immeuble pour aller faire quelques courses, je tombais sur le fils des concierges, à peu prés du même âge que moi, belle tète, mais corps un peu trapu, quoique pas déplaisant du tout. Notre relation jusque là s’était limitée à bonjour, bonsoir. Mais cette fois, il me demanda ce que je faisais pour le réveillon, si je partais dans ma famille et devant ma réponse négative et que je ne faisais rien de spécial, il me dit que lui aussi était seul, que ses parents étaient partis chez sa sœur pour 3jours et que si je voulais on pouvait passer la soirée ensemble et se faire un bowling. Aussitôt je me dis que ce n’était pas banal pour un réveillon de premier de l’an et pourquoi pas.
Ainsi après avoir fait des courses, nous dinâmes ensemble, puis avec sa voiture nous partîmes pour le bowling de Marly le Roi. Personnellement je n’y avais jamais joué mais rapidement je m’y mis et faisais de nombreux strikes, ce qui me rendit fou de joie. Les douze coups de minuit sonnèrent et tout le monde se souhaita la bonne année en se faisant des bises. Lorsqu’il m’embrassa je trouvais que c’était un peu prés de ma bouche, mais bon… Au bout d’un moment nous décidâmes de rentrer et arrivés à la porte de l’immeuble, il me dit «  Je ne sais mais j’ai envie de commencer l’année en me foutant à poil et de traverser la rue ainsi et de revenir. Qu’en penses-tu ? » Je lui répondis que personnellement je n’y voyais pas d’inconvénient, que pour moi voir quelqu’un à poil était toujours un plaisir, quand il était bien foutu, et qu’il ne risquait pas de choquer grand monde à cette heure de la nuit. Aussitôt dit aussitôt fait, il se déshabilla rapidement, ne gardant que ses chaussures, ouvrit la porte de l’immeuble, se précipita jusqu’au mur d’en face et revint à toute vitesse et referma la porte de l’immeuble. Cela m’avait légèrement émoustillé mais sans plus. Il me fit rentrer chez lui et là toujours nu, il me montra le pli de son aine droite en me disant qu’il avait un léger échauffement et me demanda ce qu’il pouvait y faire. Je lui dis alors qu’il faudrait qu’il s’allonge pour que je puisse bien voir. Nous allâmes donc dans la chambre et il s’allongea en écartant bien les jambes. Je m’approchais et de la main gauche je repoussais sur le coté son paquet de couilles qui était gros et ramassé alors que le sexe lui était tout petit à ma grande déception. Par contre la peau la peau était d’une douceur extraordinaire sans doute à cause de l’absence totale de poils. Voyant effectivement une rougeur je lui dis qu’il fallait mettre de la crème pour peaux sensibles ou pour bébé. J’ai me dit- il et il alla en chercher dans la salle de bain. Il me demanda alors de la lui passer arguant que je ferai cela mieux que lui. Je me mis donc un peu de lait sur le bout des doigts de la main droite, et commençais un léger massage de la zone tout en repoussant le paquet en le recouvrant de la main gauche. Petit à petit mes doigts de la main gauche pétrirent doucement le sac et je sentis le sexe commencer à se dresser le long de ma paume et rapidement à dépasser ma main en prenant des proportions inattendues. Stupéfait, je continuais mon massage en descendant de plus en plus bas vers un orifice qui  de par les mouvements du bassin n’attendait que ça. Je  remis de la crème  sur le bout de mes doigts et commençais cette fois à en enduire la rosette qui rapidement se dilata et se laissa pénétrée. Jean, c’était son prénom, se mit à pousser des râles et des soupirs de plaisir m’incitant à lui prendre le sexe dans l’autre main, sexe devenu réellement de très bonne taille et qui n’attendait que cela. Je commençais à le décalotter tout en continuant mon massage anal et je me penchais pour le prendre en bouche. Jean tendis alors la main vers mon entrejambe pour juger de l’effet produit sur moi et commença alors à me déshabiller, défaisant ma ceinture et abaissant mon pantalon. J’arrêtais un bref moment de m’occuper de lui pour me mettre à mon tour à poil et me positionner au -dessus  de lui en 69. L’excitation nous prenant alors de façon grandissante nous finîmes rapidement par nous prendre l’un après l’autre, sans retenue, et finîmes la nuit dans les bras l’un de l’autre. La journée du 1er  se passa elle aussi au lit, entrecoupée de moments de repos et de parties de jambes en l’air qui nous laissèrent en fin de compte totalement épuisés. Le soir je décidais de remonter dans ma chambre d’étudiant pour avoir une nuit de repos avant de reprendre le train train quotidien.  Jamais plus nous eûmes l’occasion de remettre ça ; mais toujours est –il que je venais de passer le cap de la nouvelle année avec un adorable garçon dans mes bras alors que ce n’était pas prévu du tout. Je comptais sur le hasard et celui-ci avait bien fait les choses.

Nous souhaitons  à tous les copains du blog

Une Bonne année 2007