Pendant plusieurs jours, le soir une fois rentré chez moi, plongé dans mes bouquins d’anatomie, j’avais le bas ventre qui me tenaillait et me faisait me souvenir l’aventure vécue avec mon voisin le bel esthéticien. Or un soir n’y tenant plus et pensant que j’avais une forte envie de me donner à lui, cette fois, je descendis mes quatre étages et me dirigeais vers sa boutique. Je me plantais donc à tout hasard avec un grand espoir devant sa vitrine, espoir récompensé car presque aussitôt, je vis mon Apollon sortir de l’ombre, nu comme la première fois, et venir m'ouvrir la porte pour me faire entrer précipitamment. Une fois dedans il m'entraîna aussitôt vers la cabine de soins, me déshabilla sans plus attendre et me coucha sur la table. Alors me relevant les jambes, il commença à me lécher les boules descendant jusqu'à ma rosette qu'il titilla de la langue cherchant à s'y enfoncer de plus en plus. Puis enduisant le bout de ses doigts réunis, de salive il vint me lubrifier le trou et y enfonça doucement d'abord un doigt puis un deuxième et commença un lent va et vient. Progressivement sous cette caresse je m'ouvris et assez rapidement il put se positionner entre mes jambes relevées et posées sur ses épaules. Il me tira à lui, le bassin bien au bord de la table, et alors sans même se toucher, il me pénétra doucement mais sûrement et une fois bien à fond en moi, il commença à aller et venir à un rythme irrégulier tout en allant en biais une fois à droite une fois à gauche, en haut, en bas, en faisant des cercles. A mon grand étonnement la pénétration ne me fit aucun mal, il est vrai que j'étais si excité que je m'étais ouvert sans aucunes difficultés et un immense plaisir s'empara de moi rapidement. Je me mis à gémir puis à crier si bien qu'il se pencha sur mon buste pour m'embrasser sur la bouche et me rouler une pelle sensationnelle. C'était là son moyen de me bâillonner. Ses mains en profitaient pour parcourir tout mon corps tout en me maintenant en bonne position. Sous l'effet de toutes ces caresses et de son sexe qui me travaillait des fois très vite puis très lentement, sortant parfois entièrement pour repénétrer aussitôt et ressortir à nouveau, je finis sans me toucher ni que lui ne me touche le sexe par éjaculer en longues saccades qui m'inondèrent le torse, et la jouissance fut si vive que je perdis connaissance. Combien de temps suis-je resté inconscient? Je ne le sais mais en revenant à moi, il était toujours dans moi, immobile, attendant que je reprenne connaissance. Il me demanda « ça va? » et devant ma réponse affirmative quoique je ne savais plus trop où j'étais, il s'activa de plus belle et se répandit en moi en jets puissants avec des râles de plaisir. Puis doucement il se retira de moi, prit un drap en papier sous sa table de soin et commença à m'essuyer doucement. Ensuite je me rhabillai, lui roulai une pelle et sortis en lui disant « A bientôt » et rentrai chez moi épuisé. Le lendemain en fin d'après-midi, rentrant de mes cours je passais devant son magasin et à ma grande surprise je vis sur le pas de la porte, me faisant un grand sourire entendu deux Apollon identiques, deux frères jumeaux. Par la suite jamais plus la porte ne s'ouvrit pour moi et jamais je ne saurai si j'ai fait l'amour avec un seul ou avec les deux. Mais quoiqu'il en soit les deux fois furent sublimes et ne sont pas sorties de ma mémoire.

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