Ca va donner envie de

déménager

L'hitoire d'aujourd'hui nous est envoyée par Gabi qui nous avait déjà offert deux belles histoires le mois dernier. L'action sedéroule en juillet, c'est toujours bon de penser à l'été quand on doit affronter les frimats de l'hiver...

A bien y penser, on pourrait aussi situer l'action en plein mois de décembre, avec un décors de marché de noël et l'histoire deviendrait un beau 'conte de noël' comme Sacanoix en attend.

Juillet dernier, j’ai du quitter mon ancienne maison.
Ma mère s’est remariée et projetait une nouvelle vie de famille : elle, moi et … mon beau-père. Autant dire que ça ne m’enchantait pas !
J’étais dans la voiture qui nous amenait dans notre nouveau quartier. Tout était moche !
Les rues, les maisons, les voisins…
J’avais juste envie de m’enfermer dans ma nouvelle chambre et ne plus en sortir. Et ma mère qui s’extasiait de tout et de rien…
A peine arrivés, des voisins sont venus nous aborder. Ils n’ont rien à faire de plus intéressants ! Et voilà que je vous présente tous les enfants… et le petit dernier… et la belle-fille… Sourire hypocrite scotché au visage, c’est parti !
Le pire, une semaine après l’aménagement du salon, ma mère a tenu à inviter tous les voisins chez nous pour faire connaissance…
Ils allaient arriver dans 15 minutes… j’ai ‘’malencontreusement’’ oublié l’heure et je suis allé faire un tour… Je sais pas où, mais je suis sorti.
Après avoir tourné pendant une heure, vu que je ne connaissais rien de ce quartier et qu’il n’y avait rien d’intéressant, je suis rentré…
Je me suis faufilé parmi la foule. Je me suis servi un verre, quelqu’un attendait à côté de moi alors tout naturellement je l’ai servi… Et voilà que d’autres me tendent leur verre, mine de ‘’Ah ben tiens puisque vous servez !’’ Non mais oh !
Je redéposai le pichet de jus et relevai la tête, près à dire à cette autre personne de se servir elle-même…
Mais là, y a eu un blocage…
En face de moi, se tenait un beau blond qui me regardait, ses cheveux lui tombant devant les yeux, en se mordillant les lèvres.
Je ne savais plus quoi dire, ni quoi faire.
Allez, on se reprend, on lui sert son verre de jus. On essaie de trouver quelque chose à dire…
« Tu es le fils des nouveaux voisins ? »
Ah ben il a trouvé pour moi.
« Oui. Ma mère et mon beau-père, en fait. »
Mais on s’en fout, putain !
« C’est sympa, ici »
Tu parles ! Y a pas cinq minutes je crachais sur tout ce qui touchait à cet endroit…
« Ouais bof c’est pas un super quartier mais plus bas en ville c’est mieux. Je pourrais te faire visiter… »
Le coup de la visite guidée, trop facile !
« Ah ouais, je veux bien, ce serait cool.
- Après avec des potes, on va en boîte, tu voudras venir ?
- Ouais, sans problème !
- Mais… c’est une boîte assez particulière… faut aimer le genre.
- Quel style ?
- Tu verras. Mais je pense que tu vas aimer. »
Une demi-heure plus tard, Tom et moi sommes dehors, on attend ses amis, il m’a montré sa maison pas loin de la mienne. Ses amis arrivent, il leur dit que je suis de la ballade, c’est parti. On monte dans la voiture. Ils sont sympas, on rigole bien, je me sens bien. On est à six, deux devant et moi, Tom et deux de ses potes derrière. D’ailleurs, les deux à côté sont littéralement l’un sur l’autre, ils essaient de me tester, je crois.
Vous pouvez faire tout ce que vous voulez les gars, ça va pas me déranger au contraire !
Les chemises se déboutonnent, les mains se font plus caressantes. Le souffle chaud de Tom dans mon cou me fait frissonner :
« Ca t’excite ?
- Ouais, vachement !
- Sympa le mec que t’a ramené Tom ! Remarque celui qui conduit
- Il va aimer la boîte alors ! »
Oh ça semble prometteur !
Finalement, il tombe pas si mal ce déménagement…
On se gare et on se dirige vers la rue peuplée juste en face, d’où la musique arrive jusqu’à nous.
Un peu au loin, je vois deux mecs se tripoter, tout en essayant de s’éloigner pour trouver un coin tranquille. Je ralentis légèrement profitant du spectacle. J’en viens même à m’arrêter pour ne pas les perdre de vue. Tom se marre, me voyant faire.
Je finis par les perdre de vue, dommage, ça devenait intéressant…
Tom m’entraîne finalement dans la boîte.
C’est super animé, y a plein de monde. Des mecs partout ! Je ne sais plus où donner de la tête !
Tom et moi on va s’asseoir et deux de ses potes foncent sur la piste de danse et les autres vont chercher à boire.
Tom se rapproche de moi et me demande :
« Alors tu l’aimes cette boîte ?
- Ouais, elle est super ! Je ne regrette pas d’avoir déménagé
- Et moi encore moins. »
Sans plus de cérémonie, Tom m’agrippe par la nuque et me roule un patin d’enfer.
Sa main est chaude dans mon dos. Bientôt, elle descend et s’aventure sur mes fesses. Je gémis et le serre d’avantage contre moi. Tom a bien choisi la place. On est au fond de la boîte, dans un coin sombre avec des petites lampes juste au dessus des tables que l’on peut éteindre à loisir… C’est ce qu’il fait d’ailleurs, il me lance un sourire coquin et lève la main pour éteindre la veilleuse…
Le noir nous recouvre. Personne aux alentours ne peut nous voir. Je ne peux même pas le voir. J’entends sa respiration saccadée. C’est excitant ! Je pousse un cri de surprise quand je sens sa main se plaquer sur mon entrejambe. Il commence à me caresser et son autre main me déshabille. Je l’aide et j’enlève vite fait mon haut. Il déboutonne lentement mon pantalon tandis que je m’attaque au sien. Nos pantalons se retrouvent balancés sur la banquette en face et il continue à me caresser l’entrejambe d’une main. Je sens bientôt son souffle sur mon torse et un léger coup de langue vient me titiller le téton. C’est bon !
Il m’attrape ensuite par les hanches et m’étends sur la table en face de nous, m’enlevant mon dernier vêtement. Je me sens tout drôle allongé sur cette table, nu, au milieu d’une boîte avec un quasi inconnu, nu lui aussi.
Quelques secondes passent, il ne fait rien, je ne l’entends pas. Qu’est-ce qu’il fout ?
Alors que j’allais me relever, je sens ses mains m’appuyer contre la table. Je souris, il est toujours là. Il me roule un patin et s’allonge sur moi. J’enroule mes jambes autour de ses hanches et je me frotte contre lui. Son pantalon me gène. J’essaie de l’enlever mais je suis trop excité, mes mains tremblent trop. Il rigole et se relève pour l’enlever. Je détache mes jambes de ses hanches avec regret, le laissant déboutonner son pantalon.
Attends !
Son pantalon ??? Je l’ai déjà enlevé !!!
« Putain, t’es qui toi ?... Je rigole pas merde !!! Où il est Tom ?
- Je suis là, panique pas. »
Je sens deux bras m’enlacer par derrière et un torse se coller à mon dos.
« Je me suis dit que ce serait sympa de partager
- Je sais même pas qui c’est !!!
- C’est mon pote, celui qui nous a conduit.
- Et alors merde c’est pas une raison, t’aurais pu me prévenir ! »
Tom ne trouve rien à dire, alors l’autre intervient :
« On ne fera rien qui te dérange, tite puce…
- M’appelle pas comme ça toi !
- Je commence à beaucoup l’aimer, il a du caractère ! »
Quel idiot !
« Tu as déjà fait une partie à trois ? »
Je secoue la tête à la question de Tom.
« C’est super tu vas voir ! »
Il se colle contre mon dos et me caresse le torse.
Je sursaute lorsque deux autres mains me remontent les cuisses. Quoiqu’un peu réticent, je me laisse faire.
Tom me dépose des petits baisers chauds sur la nuque, tout en me caressant le torse et l’autre -dont j’ignore toujours le nom- me caresse les cuisses.
Ses mains m’électrisent, elles sont douces. Mes cuisses s’écartent d’avantage, l’encourageant à les visiter. Il évite habilement le point stratégique me faisant languir. Me pétrissant l’intérieur des cuisses, il s’agenouille face à moi. Je gémis, son souffle agace ma verge tendue, mes hanches se tendent vers l’avant mais Tom me retient.
Les sadiques ! Je suis sûr qu’ils ont l’habitude de faire ça. J’en peux plus, cela fait quelques minutes qu’ils ne font que me caresser sans passer aux choses sérieuses. Tom m’emprisonne de ses bras quand j’essaie de faire avancer les choses. Ca les amuse en plus. Je commence à leur gémir des insultes –ils veulent me baiser ou pas !!!- mais Tom me plaque vivement une main sur la bouche. On est encore dans une boîte publique et bien qu’on ne puisse pas nous voir, on peut nous entendre. J’ai une forte envie de la lui mordre sa main !…
Il rie doucement et fais un signe de tête à son pote. Celui-ci se redresse et ils échangent de place. Tom se met devant moi et son ami se colle à mon dos, en m’attrapant les bras.
Ils sont obligés de me tenir de cette façon ? Je ne vais pas m’envoler !
Tom s’agenouille devant moi et passe sa langue sur ses lèvres d’un air gourmand.
Il m’agrippe fortement les cuisses et me les surélève. Ma bite, mes testicules et mon anus se trouvent alors totalement exposés. Je gémis de plaisir.
Je suis allongé sur la table qui fait exactement la largeur du haut de mon corps. Ma tête est à un bout et mon cul et ma bite à l’autre. Et -ô joie, ô Nirvana suprême- deux mecs supers mignons, prêts à s’occuper -enfin- de moi, sont à chaque bout !
Je n’ai même pas le temps d’analyser que je sens Tom m’engloutir la verge d’un coup.
C’est si bon ! Un cri s’apprêtait à sortir de ma gorge mais fut vite arrêté.
L’autre m’a plaqué sur la table et a placé ses jambes de part et d’autre de ma tête, me faisant bouffer ses testicules ! Dieu que c’est bon !
J’agrippe violemment ses fesses et les écarte pour bouffer le petit trou qui y est caché. Il grogne, se penche et s’allonge sur moi pour arracher ma queue à Tom et la prendre dans sa bouche. Tom, pas revanchard, se rabat sur mon cul. J’élève et écarte d’avantage mes jambes pour lui laisser le passage.
Tom est à genoux, me doigtant et me bouffant l’anus. C’est bon ! J’en peux plus, je vais jouir.
Je me cambre et largue tout mon foutre dans la bouche de Tom. Il se relève en s’essuyant le coin des lèvres, il se met au dessus de moi et se masturbe, son pote fait de même, lui aussi va bientôt gicler. J’étends bien mon corps sous eux et les caresse. L’un après l’autre, il me gicle dessus. J’en ais plein le ventre et le torse.
Ils viennent m’embrasser et en profite pour étaler tout le foutre sur moi. Ca les excite de me voir couvert de leur foutre.
« Alors t’as aimé ?
- Ouais !
- Mais tu vas voir, demain on passe aux choses sérieuses… » 

Un grand merci à Gabi. Vous aussi les mecs, envoyez votre histoire à pipsacanoix@gmail.com une bonne façon de faire vivre le blog! Et puis, participez aussi à l'éléboration de l'histoire collective.