Drague au café

Cela s’est produit il y à quelques temps déjà, mais revivre cette histoire sur le papier me fait déjà re-bander…
Je travaille dehors en permanence, c’est-à-dire que je file de rendez-vous en rendez-vous. Je ne reçois personne dans mon bureau qui se trouve à mon domicile. Cela me permet de découvrir régulièrement de nouveaux lieus, boutique, bars, resto, et autres.
Je sortais d’un rendez-vous pas trop mal, un peu trop commercial à mon goût, trop chiffres, trop moi-je ! Ayant un peu de temps devant moi, je décide de faire un peu les boutiques, un truc informatique, un truc fringues, chaussures, rien de vraiment palpitant, et là, la boutique CD pas chers. Banalités sur banalités, mais un vendeur sublime, 25ans environs 1m80, brun, yeux noirs, 75kg, et des bras comme il faut…
Je le regarde, il me regarde, on s’épie, mais arrive un cars de touristes, il n’a plus d’oeil à m’offrir, et surveille tout ce petit monde. Après 5 bonnes minutes, je décide de partir, car je ne vois pas comment cela peu mieux évoluer. Je continue ma route et décide de prendre un café en terrasse quelques rues plus loin.
Mon café servi, je pars dans une rêverie purement parisienne, regarder les mecs passer. Je ne pensais pas ce quartier familial aussi bien chargé en mecs mignons, je me régale. Une voix me dit alors derrière moi :
-Bonne sélection !
Je me retourne, sans très bien comprendre, et découvre mon interlocuteur, 35 40 ans type européen, brun, plutôt bien foutu
-Pardon, j’ai pas compris ?
-Je disais, bonne sélection !
-Sélection ?
-Je suis derrière vous depuis 20 minutes, et je n’ai jamais vu quelqu’un regarder aussi bien les passants, et tout particulièrement les mecs !
Je deviens alors légèrement rouge, un bon coup de chaud, et je ne sais quoi dire. Lui en revanche, n’a pas sa langue dans sa poche :
-Je trouve que nous avons à peu près les mêmes goûts.
Je me concentre alors très vite et lui dit :
-Si vous voulez savoir si vous en faites partie, levez vous, passer devant ma table, regardez-moi de face et si je vous souris, c’est gagné…
-Gagner ?
Il se lève, passe devant moi, me regarde, et je découvre qu’il est très bien foutu. C’est ma journée, ils sont beaux ici ! Il repasse alors devant ma table, va chercher son café et vient s’asseoir à côté de moi, je suis ravi. Que fais-tu dans la vie, où vis tu, souvent dans le quartier, les questions d’usages, réponses utiles. Puis vient la question : célibataire ?
-Oui, enfin peut être pas pour longtemps, y’a un mec dans une boutique à cote, sublime, mais peut-être un peu jeune !
Il se lève alors et me demande de l’emmener le voir pour savoir si c’est aussi son style, et si mes goûts sont aussi bien. Nous marchons les quelques 3 minutes pour arriver à la boutique mais je sais qu’il en a bien profiter pour regarder mon cul et je ne l’ai pas déranger dans cette voie. Nous arrivons, il est seul, plus de touristes, personne à part nous trois. Je ne me décourage pas et vais direct jusqu’au vendeur.
-Bonjours, désole de te déranger, mais je voulais confirmer au mec qui m’accompagne à quel point tu es beau. Il me sourit, mais visiblement très gêné, me dit que je suis aussi très séduisant et que j’étais parti un peu vite tout à l’heure, mais qu’il était heureux que je sois de retour, qui plus est avec un autre beau mec ! Je lui dis alors que je ne le connais que depuis 15 minutes, la terrasse d’à coté, qu’il s’appel Ludovic. Je ne sais pas comment cela est venu, mais on décide tous les trois de se retrouver ce soir pour prendre un verre. Rendez vous pris pour 21h.
Nous arrivons tous les trois en même temps. On entre et Ludovic nous dit alors :
-Pas vraiment d’ambiance, j’habite à 100 mètres, vous voulez monter ?
Ayant bien compris le jeu dans lequel nous nous sommes tous embarqués, nous n’avons pas eu vraiment besoin de nous faire prier pour monter. Nous arrivons alors qans un petit appart très bien décoré et filons direct dans le salon. Ludovic revient alors de la cuisine avec une bouteille de Vodka bien fraîche et du jus de pomme. Je crois que nous n’avions pas encore bu la moitié de nos verres quand nous avons commencé à nous embrasser l’un l’autre.
Jérôme (le vendeur) était assis entre nous, je lui caressais le torse, le ventre, les cuisses, tout en lui mordillant l’oreille. Ludovic avait sa main sur ma bite qui dans mon jean attendait impatiemment qu’on la libère et embrassait goulûment Jérôme. Au bout de quelques minutes de caresses nous voilà tous les trois à poils sur le canapé. Jérôme a un torse qui montre bien ses 4 heures de sport intensif par semaine, des jambes musclées, des fesses fermes, une belle bite d’un raisonnable 17/5 avec de jolies petites couilles pendantes et une légère pilosité sur le ventre. Ludovic moins baraqué mais tout aussi séduisant, des bras puissants et des poils sur tout le torse mais une bite énorme, dépassant aisément les 20 centimètres avec un gros gland.
Jérôme s’active comme il peut pour la mettre en bouche pendant que Ludo lui caresse les tétons et que moi je lui lèche le cul. Ses fesses fermes se contractent régulièrement me donnant plus d’entrain à chaque fois.
-c’est ça, suce bien cette bite si tu veux l’avoir dans ton petit cul. T’as deux mecs spécialement pour toi se soir, j’ai envie de bien décharger cette nuit.
Je suis aux anges et commence à lui mettre un doigt puis deux puis trois… Il pousse de petits cris de plaisir et se cambre de plus en plus. Je me branle en même temps, j’ai trop envie de le pénétrer. Jérôme dit alors :
-Fou moi ta bite, j’ai envie de te sentir rentrer en moi.
J’attrape alors un préservatif, le mets parfaitement en levrette pour qu’il puisse encore sucer Ludo, et viens lui coller mon gland contre sa rosette. Je commence à pousser et fait entrer progressivement ma bite en lui, il se cambre et, dans un petit mouvement du dos, me fait entrer entièrement en lui, mes couilles viennent battre contre les siennes, j’entame alors un petit va et vient puis ressort au moment ou il ne s’y attend pas.
-Qu’est ce que tu fais, enfonce-toi dans mon cul !
-Attends un peu, je veux profiter de cette vision, tiens, sens ma bite qui rentre doucement, qui te caresse de l’intérieur, hmmm, t’aime ça te faire limer le cul !
-Vas-y bourre-moi…
-Suce ma bite, et lèche mes couilles si tu veux que je te prenne aussi, lui dit alors Ludo.
-Viens me prendre, mets-moi ta grosse bite dans mon petit trou.
Ludo vint alors prendre ma place, et je m’allongea sous Jérôme pour faire un 69. J’avais dans ma bouche sa bite et je vis arriver au dessus de moi l’énorme gland de Ludo. Il le positionna bien devant l’entrée du cul de Jérôme et commença à le faire entrer progressivement, Jérôme se mis à gémir, sentant ce monstre fouiller son intérieur. Je bandais comme un âne, ma bite me faisait presque mal, heureusement que les lèvres de Jérôme me calmaient tout cela.
-T’aime ça, te faire prendre les fesses, t’aime sentir en toi une bonne bite bien dure…
-Oui, prend moi, c’est ça, fais moi bien sentir ton gland.
Je léchais les deux paires de couilles en même temps, je regardais avec un plaisir immense Jérôme se faire enculer devant mes yeux, le lui caressais les tétons, le ventre, les pecs. Rien qu’aux mouvements de la bite de Ludo dans le cul de Jérôme, on pouvait sentir à quel point ils prenaient du plaisir. Je commençais à sentir le besoin de me faire enculer aussi. Je mis une capote à Jérôme, m’assis sur le bord du canapé et lui demandai de venir m’enculer. Il ne se fit pas prier, je le sentis serrer ses fesses pour me pénétrer, Ludo vint au-dessus de moi me donner sa bite à sucer. C’est vrai qu’une fois en bouche, il était difficile de respirer, mais quel plaisir de se faire sauter par un mec aussi beau et de sucer une aussi grosse bite en même temps. Puis Ludo descendit du canapé et vint se mettre derrière Jérôme et remit une capote.
-Tu veux que je te re-pénètre ? Que je te prenne le cul pendant que tu l’encules comme une brute ?
-Vas-y, rentre ta bite en moi, je veux te sentir jouir en moi.
Ludo l’encula alors comme un dingue, je sentais en moi leur mouvement respectif, j’avais presque du mal à rester sur le bord du canapé. Jérôme me pinçait les tétons tout en me labourant le cul, je me branlais doucement pour ne pas jouir tout de suite, mais Jérôme dit alors :
-Je vais jouir.
-Attends moi !
Je me mis alors à me branler plus vite et jouis comme si c’était la première fois, de longs et puissants jets. Jérôme sorti de mon cul, enleva sa capote et vint me jouir sur le torse, je sentis son sperme bien chaud, bien lourd tomber avec saccade sur mon ventre tandis que Ludo jouissait en lui dans un râle bestial.
Nous nous sommes avachis dans le canapé, crevés, épuisés, mais ravis. Nous avons fini nos verres, discuté et décidé de nous revoir prochainement.