L'étudiant des Gobelins

Trop cool les mecs qui envoient des histoires pour le blog. Celle d'aujourd'hui est envoyée par un ami qu'on remercie de tout coeur. Il a ajouté un commentaire qu'on vous donne en même temps.

"Salut, chose promise. Voici donc mon texte. Mais je me permets d'ajouter une chose. Ne parlons pas Sida qui est une chose terrible, mais quand je vois les progrés que la gaietitude a pu faire par rapport à mon époque, les jeunes d'aujourd'hui ne connaisse pas leur chance de pouvoir se draguer sans problémes, pas de peur de faire un détournement de mineur (- de 21ans) de se faire arréter sur des lieux de dragues publics uniquement parce que vous étes homo et que c'est puni par la loi avec risque de se retrouver en asile psy pour traitement..... et pourtant ils sont tous sur les lieux de dragues ici dans le midi à se tourner des heures entiéres autour, à se masturber devant les uns les autres mais sans conclure quoique ce soit, alors qu'ils savent tous qu'ils sont là pour ça, je trouve ça lamentable et vous attendez qu'ils interviennent sur votre blog .... Toutes des honteuses affirmez vous MERDE".

Cela remonte aux années 64. J’étais alors étudiant à Paris au Quartier Latin, et avait ma chambre d’étudiant chez l’habitant, une vieille demoiselle, aux Gobelins. Jeune provincial qui débarque dans la Grande Ville où on se permet beaucoup de chose alors qu’en Province on mène une vie rangée en donnant à tout le monde même et surtout à ses proches, 19 ans, beau gosse à gueule d’amour (hé oui) 1,81m mais très maigre la vie s’ouvrait à moi…… première année d’études échec total…..enfin cela n’est pas notre propos de ce jour.
Après une journée de cours j’étais donc rentré chez moi et avais plongé le nez dans mes bouquins d’anatomie que je quittais rapidement pour casser la croûte. Puis je m’y remettais mais au bout d’un certain temps j’en ai eu assez, l’ostéologie n’étant pas vous vous en doutez, la partie de l’anatomie que j’apprécie le plus…… je laissait donc tomber ressentant dans le bas ventre une sorte de tenaille qui me disait il faut autre chose……
Donc je fermais les bouquins, prenais ma veste et décidais de faire un tour soit pour assouvir cette demande impérieuse autrement qu’avec le poignet et seul, soit pour me calmer par une bonne prise d’air.
J e remontais donc le bas du Bd Arago vers le carrefour des Gobelins et remontais cette avenue avec un but précis la Place d’Italie. Pas grand monde dans les rues et rien d’intéressant. Arrivé Place d’Italie je visitais la vespasienne à deux places en vis à vis, située sur la droite de cette place, mais peine perdue : le désert, ce qui ne m’étonna pas.
Je me dirigeais donc vers celle à 5ou 6 places, circulaire, qui se trouvait au début de l’avenue d’Italie, j’y pénétrais et vis que c’était complet. 5 mecs se trouvaient là, les uns à coté des autres le sexe à la main se branlant plus ou moins tout en lorgnant les voisins.
Au milieu je repérais un jeune de mon âge à peu près, un peu trapu, mais avec un bel engin bien bandé à la main. Je me glissais donc dans l’étroit passage derrière eux et me dirigeais vers lui. Son voisin de droite sans doute gêné et honteux partit ce qui fit mon bonheur, car aussitôt je pris sa place. J e fis comme tout le monde, je sortais mon matériel déjà en bonne érection et tendais aussitôt ma main gauche vers son paquet offert. Ce que j’eus en main était d’une douceur, on aurait dit au toucher du velours, il n’y avait de poils qu’à la base de la queue et rabattu. Il se tourna vers moi et je pus me baisser au bon niveau pour le prendre en bouche. Mais si il était beau, bien foutu, bien monté,très agréable au toucher, c’était un piètre amant car à peine ma langue entrait-elle en contact avec son gland, il se mit à décharger à tout va des flots de sperme en saccades successive. Peut-être est-ce le fait d’avoir trop longtemps attendu avant mon intervention ? Toujours est-il qu’il rentra sa marchandise me dit « merci » et partit. J’essuyais avec un mouchoir le sperme que j’avais reçu, mais heureusement la plus grosse partie était passée pardessus mon épaule pour aller se perdre derrière moi. Les autres reprirent leurs mouvements de poignets, mais j’étais écoeuré que cela soit allé si vite, je reprenais une tenue décente et décidais de rentrer chez moi en restant sur ma faim. En remontant le bas du Bd Arago, je passais sur le trottoir d’en face en me disant que j’allais regarder la vitrine d’une boutique d’esthétique parfumerie, n’ayant quasiment plus d’after-shave et pour me donner une idée, quoique j’étais toujours obnubilé par queue de velours… Je m’arrêtais donc devant cette devanture qui à l’époque n’était pas protégée par des grilles ou des rideaux métalliques, ce n’était pas la peine, et commençais à regarder ce que je pouvais voir dans la pénombre de la boutique, tenue d’ailleurs par un jeune mec de 22ans environ que j’avais déjà remarqué en passant mais sans plus, bien qu’il était très beau. Soudain il me sembla voir bouger dans le fond de la boutique et je commençais à me dire que ma soirée n’était peut-être pas finie. Je fis un signe de tête et je vis à ma grande joie un dieu grec entièrement nu venir ouvrir la porte et me faire signe d’entrer. Autant vous préciser qu’il n’a pas eu à me le répéter deux fois. Dés la porte fermée, il m’attira vers le fond de la boutique où se trouvait la cabine de soin, avec un lit de traitement. Aussitôt il me prit dans ses bras et me roula une pelle……. Tout en faisant tomber ma veste et me retirant mon sweat. Moi je le caressais sur tout le corps, corps d’Apollon parfait : pectoraux saillants toniques, tablette de chocolat pas du chichi, avec en dessous tout ce qu’il fallait pour te rendre heureux des cuisses et des jambes… le tout sans un poil, lisse de partout. Un régal.
En deux temps trois mouvements je me retrouvais dans la même tenue que lui avec mes 18cms sur 4 bien dressés et prêts à l’emploi. Lui était aussi dans le même état que moi, un peu moins gros mais tout aussi long ; je n’arrivais pas à en croire ma chance…..
Nous étions l’un comme l’autre avides de nos corps, nous nous léchions partout, mordillons les bouts des seins, aspirions, sucions les creux de l’aine en titillant avec le bout de la langue, à nous faire hurler de plaisir. Soudain n’y tenant plus, il me prit dans ses bras, me coucha sur la table, me prit en bouche et commença une fellation très étudiée qui me porta rapidement au paroxysme. Le sentant, il s’arrêta, se mit à cheval sur moi, me roula à nouveau une pelle tout en s’enduisant la rosette de salive, se releva et s’empala d’un coup sur moi avec un grand cri. Alors doucement il commença à monter et descendre alternativement le long de ma hampe presque à me faire sortir de lui à chaque fois, d’abord doucement puis de plus en plus vite. Au bout d’un moment, il s’agrippa brusquement à mes épaules et je vis sa queue me lancer des jets de foutre alors que son anus se resserrait à faire mal autour de moi. N’y tenant plus je me vidais à mon tour en lui en poussant des rugissements de plaisir. Il s’écroula sur moi et nous restâmes ainsi un bon bout de temps, sans rien dire. Puis petit à petit nous reprîmes nos esprits et après avoir discuté un peu disant qu’il avait envie de moi depuis un bon moment,qu’il était plus qu’heureux que cela soit fait et espérait que ce ne serait pas l’unique fois. Je le rassurais en lui disant que j’avais une revanche à prendre : je voulais l’avoir à mon tour en moi. Nous fumes d’accord mais ceci est une autre histoire. Nous nous quittâmes et je traversais la rue pour rentrer chez moi afin de prendre un repos mérité complètement assouvi et ne regrettant nullement cette soirée si mal entamée. Queue de velours était bien loin ! !